La formation ne se limite plus à une salle comble dans laquelle un formateur délivre ses connaissances à une assemblée passive.

Elle bénéficie désormais de nombreux outils et formats, dont la variété s'est vue décuplée avec le contexte sanitaire, les innovations technologiques et l'hybridation croissante du travail.

Mais comment maintenir l'intérêt et l'engagement de vos collaborateurs, alors que leur attention est de plus en plus mobilisée ailleurs ? 12 minutes : c’est d’ailleurs le temps moyen durant lequel un collaborateur peut rester concentré avant d’être interrompu.

Pour répondre à cette problématique, SPARTED s’est attaqué dans ce webinar réalisé le 31 mai dernier, au sujet des microformats en formation. De quels types de contenus s'agit-il ? Sur quels supports ? Pour qui et pour quels usages ?

3 experts vous partagent dans le replay leurs expériences et leurs avis sur ces nouveaux modes de formations qui viennent bouleverser les modalités traditionnelles de l'apprentissage en entreprise.

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Nous avons accueilli pour speakers :

• Sarah Akel, Directrice de l'Innovation RH pour Change The Work

Change The Work produit des contenus de formation et d’inspiration à destination des RH et des managers : à l'aide de modules prêts-à-l'emploi sur les softs skills par exemple, ou encore de sujets de formation transverses. Change The Work travaille sur le futur du travail et les compétences de demain, en utilisant la fiction pour engager les apprenants.

• Stéphane Diebold, Président de l'AFFEN

L’AFFEN est une association régionale, nationale et internationale de responsables de formation en entreprise qui favorise la coopération et l'innovation positive autour de l'identité et les pratiques métier. Avec une base de 10 000 adhérents, l’AFFEN est également à l'origine du podcast FormaRadio.

• Matthieu Le Vavasseur, CEO et fondateur de SPARTED

SPARTED est une startup SaaS de la EdTech qui intervient là où la formation classique ne suffit pas, avec une application innovante de mobile learning. Elle aide les entreprises à engager leurs collaborateurs à apprendre en jouant 3 minutes chaque jour sur une application de microlearning en marque blanche.

Au programme le décryptage du :

- Mobile learning, qui renvoie à une expérience d’apprentissage digitale pensée d’abord pour le mobile. On s'attèle à simplifier l’expérience de l’apprenant et à concevoir des connaissances capables de tenir dans la poche de chacun. Il faut partir du postulat qu'il y a toujours une manière plus facile d’acquérir des connaissances.

"Le mobile learning répond à un besoin d’engagement, il y a une problématique de reach pour engager les employés. Mais apprendre trois minutes par jour, c'est aussi une réalité sociale qu'il faut animer" - Matthieu Le Vavasseur, SPARTED

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- Micro learning, qui est une modalité pédagogique basée sur des formats courts allant jusqu’à 30 min. L’enjeu est de transmettre des informations les plus spécifiques possibles en un petit laps de temps.

"Chaque capsule va amener un contenu concret qui va à l’essentiel", nous explique Sarah Akel.

- Nugget learning, ou le "fast food de la formation". En France il a tendance à être rejeté par les professionnels de formation, estimant que l'apprentissage ne se fait pas, par manque de temps. Or, nombreux se sont rendus compte qu'il s'agissait seulement d'un nouvelle écriture. C'est tout le travail des pédagogues qui contribuent à écrire une belle histoire. Le snack content va ensuite amener à des réactions, formant une véritable communauté apprenante.

"On s'aperçoit par ailleurs qu'il y a une infobésité des contenus. On est de plus en plus sollicités, c'est là qu'apparait l’idée de burnouts attentionnels" - Stéphane Diebold, AFFEN

Découvrez dans le replay des exemples concrets portés par nos experts, leur points clés à mentionner et leur vision sur l’avenir de la formation professionnelle. Et bien évidemment une séance de questions réponses avec nos participants.